


Saint-Norbert
Artiste : Janet Z Li
Technique : Huile sur toile
Dimensions : 40 x 50 cm
Année : 2025
Lieu représenté : Saint-Norbert, Québec
Description artistique :
Dans cette peinture lumineuse, le fauteuil vert de Jean-Pierre Ferland repose paisiblement sous les arbres de Saint-Norbert, le village qu’il appelait chez lui. Tel un air oublié flottant au-dessus d’un champ doré, le fauteuil devient l’écho de la voix de l’artiste — profonde, texturée, et chargée de souvenirs. Le paysage, baigné d’une lumière douce, dégage une forte présence et une poésie silencieuse. Le fauteuil, immobile et orné, semble chanter sans émettre un son : des chansons jadis écrites, des amours autrefois vécues, du silence devenu musique. Ce n’est pas un portrait de l’homme, mais du lieu où sa musique a trouvé l’espace pour respirer.
Artiste : Janet Z Li
Technique : Huile sur toile
Dimensions : 40 x 50 cm
Année : 2025
Lieu représenté : Saint-Norbert, Québec
Description artistique :
Dans cette peinture lumineuse, le fauteuil vert de Jean-Pierre Ferland repose paisiblement sous les arbres de Saint-Norbert, le village qu’il appelait chez lui. Tel un air oublié flottant au-dessus d’un champ doré, le fauteuil devient l’écho de la voix de l’artiste — profonde, texturée, et chargée de souvenirs. Le paysage, baigné d’une lumière douce, dégage une forte présence et une poésie silencieuse. Le fauteuil, immobile et orné, semble chanter sans émettre un son : des chansons jadis écrites, des amours autrefois vécues, du silence devenu musique. Ce n’est pas un portrait de l’homme, mais du lieu où sa musique a trouvé l’espace pour respirer.
Artiste : Janet Z Li
Technique : Huile sur toile
Dimensions : 40 x 50 cm
Année : 2025
Lieu représenté : Saint-Norbert, Québec
Description artistique :
Dans cette peinture lumineuse, le fauteuil vert de Jean-Pierre Ferland repose paisiblement sous les arbres de Saint-Norbert, le village qu’il appelait chez lui. Tel un air oublié flottant au-dessus d’un champ doré, le fauteuil devient l’écho de la voix de l’artiste — profonde, texturée, et chargée de souvenirs. Le paysage, baigné d’une lumière douce, dégage une forte présence et une poésie silencieuse. Le fauteuil, immobile et orné, semble chanter sans émettre un son : des chansons jadis écrites, des amours autrefois vécues, du silence devenu musique. Ce n’est pas un portrait de l’homme, mais du lieu où sa musique a trouvé l’espace pour respirer.